Et j’ai quand même passé au moins deux heures à l’écrire cette super daube cartlandiste. J’aurais du me douter que ça ne pourrait jamais rendre le résultat que je recherchais. Je voulais parler d’un épisode bien particulier, sans en parler vraiment. Je voulais masquer les conditions, les personnes, la situation, les enjeux, le déroulement. Je voulais pouvoir tout garder sous voile. C’est réussi. Tout est bien resté voilé. Rajoutez à ça le fait que je ne suis absolument pas douée pour les récits à la troisième personne et vous obtenez le post précédent.
Je vous prie de m’excuser pour cette erreur de manoeuvre de ma part.
Il est tout fragile en fait ce nouveau weblog. J’ose pas trop le brusquer, pas trop le prendre dans mes bras, pas trop le regarder en face. Il m’intimide un peu. Je m’en éloigne déjà un peu. Et je je …. jejejejejeje… Tous ces « je » qui continuent de me renvoyer dans la face la valeur que j’accorde à ce pronom, à moi -même.
Chercher la forme qui me conviendra. Prendre le temps de m’imprégner de lui. Lui laisser le temps d’adhérer à ce que j’attends de lui, aussi.
Faudrait que j’arrête de fuir. Un jour.

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