C’est chouette, un bénévole. C’est plein d’entrain. ça prend plein d’initiatives.
Par exemple, ça peut m’appeler là maintenant de suite, tu vois, vendredi 11h00, pour me dire s’il te plaît plancton, envoie- moi ta super doc et toutes tes infos, tu sais, les trucs que tu racontes là, à propos du projet, parce que lundi j’ai pris rendez-vous avec M. Machin et Mme Bidule à Trucnuche-les-Auges-sur-Gadoue pour faire ton boulot.
Ha.
Bon.
Instant de réfléxion.
Ok.
Donc.
Soit je laisse mon gentil petit bénévole partir saboter mon boulot tout seul comme un grand.
Soit j’essaye de remettre les pendules sur les rails et le train à l’heure et je me bouge le cul lundi jusqu’à cette charmante bourgade de Trucnuche-les-blés-sur-Gadoue, flinguant ainsi le plus beau jour de mon week-end. Celui où normalement, j’ai la chance de contempler les autres se faire chier à aller bosser. Le lundi. Le jour de la semaine où la glande à la plus douce saveur du monde.
Tant pis, je rajouterai du sel. Mais faudra que je glande un autre jour.
envahissant ce taf …
… comme toutes choses que l’on juge importantes pour soi. Et je suis sûre que tu comprends très bien ça…
Il y a une horrible faute d’accent et un jeu des 7-erreurs-fondues-en-une qui se cachent dans ce texte, et personne pour me faire de remarques. Je vous déteste. Vous pourriez au moins être attentifs un tout petit peu.