Parce qu’on rêve les yeux ouverts et qu’on ne voit toujours les murs que trop tard.
Parce qu’on glisse des esquisses d’avenir entre deux fesses ou deux seins, on perd ses papiers et tous ses moyens.
On se cherche soi, on se retrouve dans l’autre.
Parce qu’on y croit.
Parce que c’est bien.
Parce qu’on doit vivre.
Parce que c’est comme ça.
On sera heureux, ou peut-être pas.