ça ne m’arrive pourtant pas souvent. Mais là, je regrette.
Je vais devoir payer en patience et en résignation le montant de ma dette d’impulsivité. Je vais devoir essayer de comprendre et renoncer. Je vais payer pour lui à cause de moi. Pour moi à cause de lui.
Et le tout, sans un mot plus haut que l’autre. Sans s’agacer. Sans trépigner. Sans tourner en rond. Sans avoir envie de tout balancer et de courir. Sans rire. Sans bouger.
A quand les distributeurs de liberté gratuite dans les rues…