La vérité, rien que la vérité

Il n’y a aucun problème. Quand tu veux que je le remodèle le billetde largentula. Par contre, mon moi profond a la ferme (comme Martine), catégorique et farouche intention de rétablir la vérité et révéler le crapuleux baratin que cet homme a tenté de faire gober au monde entier. Un jour. Oui, oui, ça viendra. Il faudra bien que la lumière éclate au grand jour. (De nuit, ça pourrait déranger).
Par contre, aujourd’hui, j’ai quand même une certaine quantité de travail à abattre. Et je ne compte point me figer devant mon ordinateur pour la veillée.
Il faudra donc patienter. Peut-être même un millénaire ou deux. Car rien ne me garantit que la terre accepte la réalité facilement. Je n’ai nulle envie de finir grillée au milieu d’un bûcher parce que j’aurai trop ouvert ma gueule hein. J’ai quand même une vie à vivre moi.
(Et le premier qui dit que je triche, je le dénonce à qui de droit. Ahah ! On arrête de faire le fier là, hein ? Quoi ? Une méthode ignoble ? Beuh… J’ai rien fait moi…)

4 réflexions sur “La vérité, rien que la vérité

  1. Largentula dit :

    Quoi? Toutes mes études historiques sur le bilboquet un crapuleux baratin? mais comment … quoi… hein? Je n’ose croire ce que je lis! une etude aussi serieuse! menfin!! je… mfff gfrmffff! non mais oh!

  2. Plancton dit :

    Oh, monsieur largentula, ne prenez pas vos grands airs innocents ! Vous savez très bien que Sir William Boquet avait calculé son coup de A à Z et de la ficelle à la boule, si je puis dire. Tout obsédé qu’il était par le jeu du « pète doigts », cet homme n’avait en fait qu’un seul but et unique objectif : Donner son nom à cet objet dont il était totalement féru. Il est soupçonné également, après quelques recherches dans les archives personnelles qu’il nous reste de sa petite nièce, Rachel Boquet et qui n’auront pas été détruites par la descendance directe de ce fou, d’avoir été le fondateur de la secte de la « Boulki Fémal » et d’avoir mutilé sauvagement ses enfants illégitimes en les forçant à jouer dès le berceau avec des fléaux. Enfants qui d’ailleurs sont nés de ses aventures extra-conjugales avec une maîtresse qui semble t’il, souffrait d’une malformation capillaire qui la faisait ressembler à une Gorgonne. Je vous passe les détails sur les fantasmes lubriques de sir William Boquet qu’engendraient les piques chevelus mous surmontant la tête bien ronde de cette femme.
    Tout est il que Sir William Boquet, afin de réaliser son rêve de toujours et aussi de devenir le »Grand Ficellier » de la Boulki Fémal, se fit décapiter volontairement lors d’une grande cérémonie d’intronisation. Les adeptes essayèrent tour à tour de ramener leur grand Ficellier à la vie en replaçant sa tête sur son tronc. Ils moururent tous dans une frénésie collective, qui étranglés avec leurs ficelles, qui assomés, qui mutilés lors de cette cérémonie sinistre.
    On comprend bien aujourd’hui pourquoi la vérité fut passée sous silence. Mais en tout cas, il est vrai que sir William Boquet a bien réussi son coup puisque son nom est passé à la postérité pour désigner ce jeu qui l’a rendu malade.
    Dans certains milieux, on prétend que la secte de la Boulki Fémal n’est pas totalement éteinte. On entendrait parfois, certaines nuits de pleine lune, des incantations étranges… « Rah ! Quel beau Quette ! ». Personne ne l’explique.

  3. Largentula dit :

    Ce ne sont que des menteries promulguées par les defenseurs du yoyo et qui sont pret à tout pour faire du mal à ce jeu plusieurs fois millernaire! Jamais rien n’a pu être prouvé, et les minutes du proces de Sir William Boquet sont la pour prouver mes dires quant au procés! Ce n’est pas bien ce que vous faites pour salir ça memoire monsieur! Je ne vous salut pas!

  4. Plancton dit :

    Ahah ! Je reconnais bien là les méthodes des Boulki Fémaliens ! Vous vous retranchez derrière des bouts de papier falsifiés ! Les ficelles de votre scénario sont bien trop grosses, monsieur. Et ce n’est point en rebondissant sur le yoyo que vous me ferez perdre la boule. Je sais ce que j’affirme !

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