Plus aucune nouvelle (par voie directe) depuis fin septembre de l’année dernière. Ou octobre… ? Je ne sais plus. Aucune importance.
Un coup de fil. Il me rappelle suite au message « coup de tête » (et je ne suis pas avare de décisions coups de tête ces jours-ci…) que je lui ai laissé hier. Cela faisait des semaines que cette enveloppe à son nom trainait sur mon bureau. Si c’est important, rappelle-moi et donne-moi une adresse où te la faire suivre.
Cinq minutes à discuter. Tartine, « notre » chat. Paulette, « notre » voisine. Les nouvelles du taf. Comment ça va mal. Comment ça va pas. Eviter le domaine privé. Surtout.
Raccrocher. Se dire « ni chaud ni froid ». Sourire.
Laisser malgré soi ses derniers mots résonner dans mon esprit. Garde le moral, surtout…
Sourire. Laisser monter quelques rapides petites larmes.
Pour marquer le coup.
Pour répondre aux commentaires précédents, cela me fait plaisir de passer ici et ce n’est nullement une contrainte! Solidarité planctonique peut-être? Entre plancton on se serre les coudes 😉
C’est touchant… j’en ai des frissons…
Kitsune, c’est la première fois que je rencontre un autre plancton tu sais… Je ne suis pas habituée 🙂
Brad (c’est vraiment plus pratique de t’appeller Brad, tu sais, j’espère que tu acceptes ce raccourci…). Je disais donc, Brad, ton commentaire, d’emblée, m’étonne presque à vrai dire. Je ne sais pas si tu y as mis de l’ironie ou non. Si ce n’est pas le cas, pardon de cette mise en question. (Une habitude catastrophique chez moi). C’est juste que… y’a beaucoup plus touchant que cela à mes yeux.
SI des larmes coulent (même si c’est pour marquer le coup), pense au caleçon troué pendant l’atelier peinture à la maison…
😉
hihi 🙂 ça me fait plus rire qu’autre chose ça.