Comment on fait pour savoir ce qui est bon pour soi ? A fortiori, ce qui est bon pour les autres ?
En tout cas, c’est ce que je me suis dit… C’est mieux pour toi. Oui, c’est mieux comme ça. C’est mieux pour lui, c’est mieux pour moi.
Et il me semble même que j’en sois convaincue.
Et puis pour une fois, je vais m’astreindre au silence. Garder toutes les pensées qui accompagnent les mieux et les moins, les plus et les meilleurs souvenirs. Vais garder ça pour moi. Pour une fois, pas envie d’être lue. Pas envie d’être perçue.
C’est l’instant où l’on remet les vêtements par-dessus les idées nues, le moment où la pudeur empêche de se dévoiler. Se rhabiller, ne plus rien ôter. Comme une barrière de tissus qui sépare à jamais. C’est le petit rien à cacher que l’on dit ne pas avoir. C’est le petit morceau de soi que l’on a envie de protéger. Ce qu’il reste quand on a fait tomber tout le reste.
Tout ceci n’est plus rien qu’à moi. Et c’est mieux comme ça.
tu ne veux plus te mettre à nue?
Au moins là il y a de fortes chances qu’il soit au courant
Déçu Largy ?
Path… Il ya de fortes chances que je ne lui apprenne rien.
ça depend… un peu oui 😉
T’en fait pas Largy, du plancton à poil ça n’a rien d’exceptionnel… Crois-en mon expérience de planctonologiste!
M’enfin j’dis ça, j’dis rien! Je demande à voir aussi tiens! Rien que pour pouvoir comparer… 😉
Comment ça, rien d’exceptionnel ? Pff… La beauté est dans l’observation des petites betes qui nagent, libres, dans les eaux troubles…
c’est beau comment tu parles Plancton…
Dis Plancton, t’es plus Cladocères, Copépodes ou Rotifères?
Moi je les aime tous ces chtites bébêtes 😉