Mais comme je les masque
comme je les merveille
Et qu’il me manque un bout,
ou bien j’en rajoute de trop.
Y’a pas besoin de cacher
puisque tout sait se montrer
Pas besoin de chercher
puisque tout finira par trouver
Sa place, et la mienne.
Âme heureuse de veiller
Sur la perle bleu- gris
qui s’endort et sourit.
J’voudrais écrire un bout de toi
Dans ces moments-là
Où tu t’en vas dans ton sommeil.
J’voudrais écrire un bout de toi,
Mais j’ose pas.
Les mots permettent de donner forme,
de donner vie à autre chose.
A quoi ça me servirait, dis-moi…
Qu’on m’explique comment les bouts de toi
pourraient être plus beaux sur un bout de papier,
qu’à s’endormir sur un oreiller.
C’est déjà tellement vrai, comme ça,
couché en point d’interrogation.
(magnificent)
jolie conclusion
Bibasse, sagS, merci beaucoup !