Soyons sûrs de nos différences,
De notre peu de chances.
Réussir là où d’autres ont coulé,
l’ancre amère, le vaisseau éventré.
Soyons sûrs de l’éphémère,
Des ça ne peut plus durer.
On atteindra la terre, un jour,
On s’écrasera peut-être sur les rochers.
Soyons certains de l’impossibilité menaçante,
Des doutes, des pièges.
Notre impuissance à faire que chaque nuit
Connaisse son petit matin.
Et après avoir fait le tour,
Après avoir tout mesuré,
Après s’être parfois acharnés à vouloir détruire
ce à quoi l’on rêve de s’attacher,
Après avoir tiré les diagonales
Sur des cartes à moitié effacées,
Et qu’alors on se trouve,
Encore, toujours, à nouveau révélés,
Sans cesse plus vivants, plus brillants
Dans nos yeux en quête d’étoiles,
Alors peut-être seulement,
Aura t’on l’espoir de savoir s’aimer.
quand tu dis, « rien que pour toi, tu vois ? ». tu t’adresses à qui ? c’est pas super clair, le truc … c’est qui ce toi ? je le connais ? ou c’est un toi général lancé à la masse obscure et anonyme des websurfeurs, qui s’effondrent à tes genoux, suplliants et modestes devant tant de charmes et de délicatesse scripturale, dés qu’ils passent plus de 15 secondes à lire tes mots savoureux. hein ?
Oups ! Le temps de recevoir la notification de ce commentaire dans ma boîte à mails, il se trouve que j’ai déjà changé le sous-titre de mon blog… Oui, parce qu’en fait, il datait d’au moins 4 ou 5 jours ce sous-titre, alors je me disais qu’il commençait à dater, tu vois… Alors je l’ai changé. Ce qui rend ton commentaire complètement obsolète… J’en suis désolée. Mais je me ferais une joie, sois-en sûre de répondre à tes interrogations dans un autre cadre, cher lecteur qui s’effondre à mes genoux, suppliant et modeste devant tant de charmes et de délicatesse scripturale après avoir passé plus de 15 secondes à lire mes mots savoureux.
Je ne me riquerai à aucun commentaire là dessus…
Oui et bien moi non plus !
Bande de lâches.
mal polie !