He merde… J’ai encore pas écrit mes cartes de voeux cette année.
Bon. Je vais les ranger avec celles de l’année dernière, tant pis.
N’empêche que… Tous mes voeux les plus vierges à tous ceux à qui je n’ai pas écrit.
C’est à dire tous ceux à qui j’avais envie d’écrire.
C’est à dire pas grand monde, mais ça fait déjà beaucoup pour un petit pois comme moi.
Petit pois indigne, qui plus est, d’avoir des gens si bien autour d’elle et de même pas être capable de leur adresser quelques mots pour les remercier d’exister.
Individuellement. Et surtout, pour les chocolats.
Pas sur ces pixels qui ont vu films de cul, photos de c’qui y’a autour, lettres de rupture, déclaration de non-amour, mémoire de thèse, mémoire de stage, recettes de cuisine, jeux débiles, webcams lointaines, discussions enragées, monologues fades, propos désobligeants, paroles désobligées et autres réjouissances de la vie sur écran.
Ailleurs. Sur des bouts de papier.
Le cachet de la poste ne faisant pas foi, ce sera l’horloge de l’ordinateur, pour cette fois.
Et puis faut que je pense à écrire les vraies avant juillet, quand même.
Et sinon, sachez que « Versus » d’EZ3kiel… ça résume tout ce que je vous souhaite, et tout ce que je vous souhaite pas mais que vous avez sous les yeux tous les jours pour peu que vous ayez une fenêtre sur Monde.
Et ça, c’était le petite phrase pour placer le truc que j’arrive pas à garder pour moi.
Bordel, elle poutre trop cette chanson.
C’est pas gentil de souhaiter au moins une moitié de la chanson, enfin, à la limite ce que la femme chante, bon, oké..
En tout cas, EZ3kiel c’est bon, hein.
Et bonne année, ‘ctouille. Joyeux février.