Elle est bizarre cette année quand même…
Les projets sont face à moi, ils m’attendent.
Je sais ce que j’ai à faire.
J’ai peur. Comme toujours.
Ce serait trop facile si tout était simple.
Ce serait tellement simple si tout était facile.
Fustigeant.
Fuuussss.
Tigeant.
Encore des bruits et des sons qui me traversent la tête en courant d’air,
comme aspirés par un vortex branché sur le 220 V et mon oreille droite.
Un appareil électroménager.
Combien de femmes ont reçu un robot mixeur en offrande aujourd’hui ?
Moi, j’ai reçu un son en offrande.
Une voix.
Cette voix qui m’a dit que petit coeur, il est 7 heures.
Et moi qui ai pensé très fort 3 « putain », 2 « bordel », et passé 1 quart d’heure à trainouiller sous la douche parce que décidément, on a rien inventé de mieux pour se laver depuis la bonne vieille douche chaude.
Et puis j’ai déballé encore un autre cadeau, celui du plaisir de l’embrasser avant de partir attraper un train qui, s’il savait un peu qui je suis, bordel, aurait la gentillesse de m’attendre un peu. C’est quoi ce monde de merde qui ne s’arrête même pas de tourner pendant qu’on prends le temps d’aimer ?
Aujourd’hui, pour la Saint-Valentin, j’ai eu un petit bout de quotidien à deux.
…
Un joli paquet cadeau avec un joli noeud.
(Voilà, c’était la chute).
Et dites pas que je vous avais pas prévenus.
Un bout de quotidient, c’est une beau cadeaux, trés beau.
…je suis innocent, je le jure.
Un tres beau cadeau.
Sheepyr et poussinet : C’est mon beau cadeau rien qu’à moi, je vous le preterai pas. na.
Lui : Tu ne fais pas avancer le problème car de toute façon, il n’y a que des innocents sur ce blog. Mais y’a juste que… ben… parfois, y’en a qui ont les mains plus pleines que les autres.