Between light, and nowhere

Y’a plein de trucs dans la boîte à idées. Et rien qui me donne le courage de croire que ça vaille le coup d’être écrit.

La scène de la femme et du vieil homme sur le quai de la gare, avec la valise. Les silences et l’aurevoir pluvieux qu’on sent venir, qu’on regarde, et le moment où je me suis fait prendre sur le vif, par les anges qui gardaient les lieux. Ils m’ont grondé en détournant les yeux, et j’ai souri de mon impudence.

La scène de la femme qui veut plus croire en rien, mais qui sait pas à qui le confier. Alors elle se retrouve devant le portrait de son vieux père, tellement vieux qu’il en est mort, avec son chiffon à poussières, en train de prier s’il te plaît, fais que…

Et puis une chanson. Darling… stand by me.
ça vaut pas le coup d’être écrit, non plus. Juste chanté.
Et puis ça vaut aussi un bouquet de roses.
Et des années.

2 réflexions sur “Between light, and nowhere

  1. alain dit :

    euh…le vieil homme?
    Non, rien !

  2. Plancton dit :

    Non Alain, c’est pas toi, hein…
    Pfff.
    Spèce de gros nombril va !

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