Pisseuse immature, à mon âge… rhô…

Elle était pourtant chouette ma métaphore…

« Un chien, tu peux peut-être l’éduquer en lui foutant la gueule dans son pipi. Un être humain, tu pourras en espérer tout autant avec cette méthode, sauf que… Le chien arrêtera un jour de faire pipi sur le canapé. L’être humain viendra le faire sur ton oreiller. »

Peut-être un peu trop défécatoire pour ne point être vexante ? Je vous jure pourtant sur la tête de mes cheveux que jamais je ne suis allée faire pipi sur l’oreiller de qui que ce soit. Ou alors, vraiment, je m’en souviens pas.
Juste que j’aime pas quand on essaye de me coller la tête dans mes erreurs. Que ça n’a jamais servi à rien. Et que ça finit souvent bien connement.

La preuve

5 réflexions sur “Pisseuse immature, à mon âge… rhô…

  1. Apa dit :

    J’ai lu votre discussion sur son blog et j’avoue avoir compris la même chose que toi et c’est ta propre remise en question de ces propos, qui a provoqué ma propre remise en question de ces propos également. Je ne sais pas si tu me suis. En d’autres termes, je te soutiens, si je peux me permettre 🙂 J’aurais voulu comme toi, y déposer mon avis mais cela reste inutile car déjà essayé et la communication n’a jamais pu se faire. Nos façons de nous exprimer n’arrivent pas à se comprendre et mènent au conflit (bien que superficiel). Quand à ta métaphore, je la trouve assez chouette à vrai dire et originale. De plus, elle reste très claire. Bon, je te soutiens à 200% alors!

  2. alain dit :

    Oui bon alors là, je trouve que c’est pousser un peu loin la métaphore !
    N’oublie pas, trop de métaphore, tue la métaphore.
    Oui ben moi aussi je dis ce que je veux.
    Non mais!

  3. an.archi dit :

    En fait, avec la négation partielle (puisqu’il ne la répète pas à vienne), on a tendance à lire « redoute » au lieur de « doute ».
    Je suis assez d’accord sur la bancalité de la phrase.

  4. Anonyme dit :

    Là où le bloggueur est roi en son domaine,
    Commentateur n’est que tâteur d’abdomen.

  5. Guillermito dit :

    Les multiples déficiences orthographiques de ton interlocuteur (une poignée de fautes par ligne), associées à de pénibles tentatives de faire de l’esprit (« un mot pour un maux » : presque douloureusement ridicule), font que, même si ta métaphore zoophile est un peu tirée par les cheveux, tu gagnes aisément ce petit combat de coqs.

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