De la fatalité des sonorités

Les chiens, affolés par les odeurs flottantes qui poursuivaient sans relâchement les oiseaux, bondirent.
Tu as regardé les perdrix bourrir dans un dernier espoir.
Et moi, je les voyais déjà crever.

Edit : Nan, en fait, c’était une blague, c’était bourrir.

Edit 2 : Bon, ok, elle était vraiment bourrie ma blague, je recommencerai plus.

2 réflexions sur “De la fatalité des sonorités

  1. lui dit :

    et mes royalties ?

  2. plancton dit :

    Ben y’a que nous que ça fait rire on dirait hein… On s’arrangera pour le règlement entre nous.

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