le temps d’un sandwich ou d’un été.

Le sandwich a du mal à passer.
La vie aussi.
La clope qui suit inexorablement la précédente ne fait que me donner envie de sortir la prochaine.
Et j’attends que le temps passe.
Que la haine redescende. Un jour. Mais redescendra t’elle ?
Cette haine ne se contente-t’elle pas de se terrer, pendant des jours, ou pendant des mois, jusqu’à l’occasion pour elle d’éclater au grand soleil ?
On me quitte toujours en me disant que je suis une fille bien. Marrant, non ?
J’ai pris le parti d’en rire. Et ce n’est pas très sincère.
On me quitte toujours en me trompant, en me mentant, en me cachant des choses. Voilà ce que je retiens de tout cela.
Pourquoi avoir peur des conséquences d’une rencontre si on la juge anodine ?
Est-ce que ce sont tes envies que tu caches ?
Est-ce ma faute… A force de douter. Tu as peut-être voulu me prouver que j’avais raison.
Merci, c’est gentil.
Est-ce que mes suspicions ont déclenché les mensonges ? Ou bien est-ce que vos mensonges ont donné vie à mes doutes ?
Tout ce que je sais, c’est que la liberté que je vous ai laissée, messieurs les hommes qui ont compté, était bien trop grande pour vous.
Que vous finissez par vous y perdre. Mais que je ne sais pas faire autrement que de donner autant de liberté que je souhaite moi-même en avoir.
Ma liberté est-elle si impressionnante que cela…

Une réflexion sur “le temps d’un sandwich ou d’un été.

  1. Palymp dit :

    J’allais dire que la haine, faut faire gaffe parce que c’est salissant et que ça imprègne, c’est infecte et ça fait des grincements de dents et des frais sans fin chez le dentiste, mais je constate en glissant ma molette ves le bas que vous avez déjà tout vomi partout. Zut.

    Y’a du sopalin en promo chez Champion.

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