Je regarde les roses, en fumant ma cigarette.
Je regarde les roses.
Et je me frôle de ma propre pitié.
Comme je la déteste, cette haine. Comme je l’ai en horreur.
Comme je ne suis pas faite pour haïr…
Faites qu’elle s’en aille, vite.
Faites que je réussisse à la combattre.
En suis-je capable, seule ?
Suis-je capable de m’arrêter avant l’épuisement total de toutes mes ressources d’humanité ?
C’est un déferlement, une montagne, un seïsme…
Et je pleure de me savoir si sale.
De toute cette poussière que vous avez soulevée, de toute cette merde que vous m’avez donnée.
Je pleure de voir ce que la vie est capable de faire de moi.
Je pleure de voir en quoi je suis capable de me métamorphoser.
Je ne suis pas faite pour ça, moi.
Moi, je suis faite pour aimer.
Je suis faite pour offrir des sourires.
Je suis faite pour grogner en me levant et faire l’amour en me recouchant.
Je suis faite pour t’écouter, quand tout va mal, quand tout va bien.
Je suis faite pour faire de mon mieux pour aider.
Ne gardez pas l’image de ce monstre que les mensonges ont crée.
Prenez patience, s’il vous plaît, le temps que je l’aie recraché.
Ohh on prend patience, t’a vue le nombre expodentiel de commentaire.
…
On reste fidele…
Je t’embrasse.
T’en fais pas mademoiselle, on reste 🙂
on reste… on sait que c’est une maison de qualité !
bises.
Quand tu l’auras recraché, je veux bien la boulette de rejection. Pour etude.
JE suis tres curieux.
Hey. Prends moi pour une chouette, toi. Tu mériterais que je t’hulule dans les oreilles tiens.