Etrange écho.
Maison vide, je retrouve mes bruits.
J’ai des révolutions de retard, qui attendent qu’on vienne les lire.
Elles ne se montreront pas, elles sont tellement bien là où elles sont.
J’aimerais ne pas avoir peur de ce que c’est, tu sais, de ressentir.
Le crier sur du papier ou l’écrire dans du sable, qu’importe.
C’est tellement doux, les frôlements de tempêtes. Celles qui nettoient tout.
Celles qui remettent tout à plat, après avoir tout envoyé voler.
C’était pas si mal que ça, là haut.
ça permet de voir ce qu’on a laissé derrière nous.
J’aimerais ne pas avoir peur de le dire.
Mais la peur, après tout, on en fait ce qu’on veut, non ?
Elle est un choix, parmi d’autres.
Elle s’y noie un peu, tellement ils sont nombreux.
Comme l’eau est plate…
Comme elle doit s’emmerder, dans sa petite bouteille.
… Le calme aprés la tempete ?
Bises