Le seul regard qui peut rendre Paris belle est celui du touriste.
Ou peut-être celui du pigeon, qui jamais ne meurt de froid ou de faim.
Je traîne des pieds pour y aller, ça se voit ?
Je racle les murs, m’accroche au fauteuil,
Je fuis cette ville capable de tant de laideurs,
Et mère de tant de bêtise.
Mais aujourd’hui, je me suis aperçue, suite à un effort violent d’ouverture sur le monde extérieur, que j’avais réussi à manquer un concert de Pearl Jam, offert à des ouïes ébahies et des aisselles déconfites, ce lundi soir dernier sur Paris.
Bonne vieille ville de Paris.
Tu m’enveloppes de trop de haines et me voile trop de trésors pour me laisser froide. Vilaine petite cachottière.
Comment te soudoyer, dis-moi ?
Me permettrais-tu, un jour, de vivre heureuse dans tes bras ?
Pearl Jam… J’ai loupé Pearl Jam…
( A l’écoute du podcast imaginaire et bien réel des bruits de ma vie, ce post se conclut tragiquement par un léger bruit de suicide de tête contre un bureau).
ho, je suis sûr que tu en as tout de même trouvé un de trésor … non ?
arfff, faut croire que non…. 😉
Pearl Jam Rocks !!!!