C’est l’art d’être à la bourre pour prendre un train qui n’existe pas.
C’est aussi toute la difficulté de la vie, concentrée dans un sac à dos qui ne pourra pas contenir à la fois les deux paires de chaussures, les bouquins au cas où y’ait vachement de temps pour lire, la serviette de toilette que l’on a oubliée de toute façon et que l’on piquera finalement dans les stocks de l’hôte.
Parce que défaire tout le sac pour y fourrer la serviette entre une paire de jeans et le petit T-shirt noir dont le sacrifice eût couté excessivement cher à votre féminité… même pas t’y penses.
Le départ en vacances, c’est aussi les grands concepts mathématiques appliqués. La chaussure, la boîte de capotes, tous ces trucs aux formes difficilement arrangeables qui refusent de se plier aux exigences de l’informité de votre sac à dos.
Sans oublier la part de risque… le pot de confiture s’abstiendra t’il de se répandre dans les vêtements ?
Tiens, j’ai bien fait de venir écrire ce post… Je viens de m’apercevoir que j’avais oublié mon Routard et mes références de réservation d’avion.
Bonnes vacances.
Merci bien msieur. D’autres réponses, plus tard…
Oups… j’ai lu trop vite… c’était si réaliste
écrire ce qui passe par la tête, c’est pas si mal… un peu de rêve
mais rêver une réalité ce n’est pas vivre une réalité rêvée, c’est même l’exact contraire, et la solution n’est pas là.
La solution existe-t-elle?
faut s’en sortir bordel de merde… faut s’en sortir…
Bon sang depuis combien de temps y es-tu entré(e)?
oula… T’es alle un peu loin du coup dans l’interpretation, faut eviter de trop relire… Ma realite, je suis dedans jusqu’aux oreilles hein… De l’imagination, je n’en suis certes pas depourvue, mais les choses sont bien toutes a leur place, je crois. Sauf moi, qui veux juste changer de vie… mais on y a tous droit a un moment ou l’autre, non ?
Mais sinon, ben… ca fait trop longtemps deja !
et tu vas rester combien de temps, virtuellement en vacances virtuelles ?
et ton avion…
il passerait pas trop loin d’ici ???
alain : C’est sacré les vacances. Surtout quand ça n’a rien de virtuel.
Marine : Je suis bien passée au dessus des Alpes… Mais y’avait ni drapeau suisse, ni français qui flottait au-dessus 🙂