Enfin cette sensation de nager loin du bord. Loin du fond.
Mais les yeux rivés sur le ciel, pour m’y accrocher.
Mon univers est infiniment petit, et pourtant.
Tellement de peurs à surmonter au départ…
J’ai pas grand chose à honorer, si ce n’est ma liberté.
cooooooolllllllllllllllllllllllllllllllllllll !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
toujours d’aussi beaux mots : pas grand chose, la liberté à honorer ? et puis les peurs, un jour, s’évanouissent… et l’espace qu’elles laissent se remplit, progressivement, avec les choses qui sont nous. Enfin, il ne s’agit plus de paraître mais d’être, une femme, une personne, complète et complètement présente à elle-même. Celle-là,on peut enfin l’aimer
m’enfin, c’que j’en dis…
bisous Planctounette