portes entrouvertes, toujours.

J’m’en vais demain.
J’efface les vingt lignes que je viens d’écrire et je m’en vais demain.
Je ne répondrai plus aux commentaires laissés sur ce blog pendant quelques temps. D’ailleurs, ça a déjà commencé, vous avez vu. Mais merci à tous. Les encouragements, faut que je les trouve par moi-même, je crois. Merci.
Je m’accorde 5 jours à Lyon. Je bloque sur le pourquoi réagir comme ça. Peur. Confrontation avec la vie d’avant. Mes échecs en pleine gueule.
Je me demande si je ne suis pas en fin de course. Si le meilleur n’est pas déjà derrière moi.
ça sert à quoi de se demander ça.
Les gens que j’aime me font pleurer. Je suis en deuil, je crois. Je ne sais pas qui on a mis en terre. Des heures, des minutes, des années.

Je crois que je me répète trop. Je crois aussi que « je » trop.
Cinq jours à Lyon puis isolation. Ici, ce n’est encore pas assez. Il me faut plus. A quoi ces jours-là vont ressembler ?
Oui. C’est une petite traversée, d’un petit désert. Tout est à ma taille, et à celles de mes ambitions. Dingue comme le temps me paraît long.

M’ont posée comme une graine et m’ont laissée là.
ça grandit avec le soleil et l’eau et ça donne une herbe folle.
Ou une mauvaise herbe. Personne n’en sait rien.

résolutions

Apprendre à me résoudre.
Ne plus chercher là où tous les tiroirs sont déjà vidés.
Ne plus craindre de sauter sans élan.
Ne plus reculer quand il n’y a que du vide derrière soi.
Ne plus retourner les coins en espérant en faire des courbes.

Affronter.
La journée est essorée. Les dernières gouttes en tombent et s’évaporent au contact du sol.
L’année est vidée.
Plus rien à en tirer.

La nuit attend.
J’attend qu’elle se passe.
J’attend que tout cesse ou que tout démarre.
Affranchie des rythmes, esclave du temps.

Me résoudre.
Me changer en solution.
Problème récurrent.

Que les masochistes lèvent la main.

Terrassée par la fatigue. La tête qui traîne sur l’oreiller et les yeux qui luttent pour s’ouvrir afin de regarder bien précisément l’heure qui s’affiche en trois formats différents sur trois réveils différents. Une connerie de virus sur mon pc hier soir (enfin, ce matin très tôt) qui m’a fait flipper comme en 40. Enfin… Comme en 2001, à trois jours de ma soutenance de DESS qui avait lieu… un 11 septembre. Moi qui ne me souviens jamais d’aucune date, au moins, cette fois, j’ai un sacré repère. Je peux pas le louper. Un peu comme… non … rien.
La prénommée demoiselle Chafou Tartine au milieu de la nuit se sent d’humeur pour une crise de ronrons. Des coups de tête contre mon front, un vague souvenir. Elle n’a pas réussi à me réveiller.
Une douche pénible. Il y a de ces moments où je rêve d’être une vraie vieille avec une chaise en plastique installée sous le jet d’eau. ça m’éviterait de m’endormir debout. Le pommeau réglé sur le mode karcher pour tenter de stimuler mes paupières. Rien n’y fait. Tartine m’attend sur le tapis de bain à la sortie de la douche. J’évite de me prendre les pieds dans l’embuscade combinée chat et tapis. La bestiole vient récupérer l’eau qui goutte de mon corps. Elle se frotte contre mes jambes. Récupère l’eau. Et me laisse ses poils en échange. Cette chatte est au moins aussi fainéante que sa maîtresse. Elle adore les bonnes occasions de toilette sans effort. Alors l’eau de la douche et mes jambes pour se décrasser, quelle aubaine. J’la comprends. Les petites aides en cas de panne sèche et tout ça…
Hahem.
Oui, les humidificateurs d’air, c’est ça.

Et donc voilà quoi. Dernier jour de boulot avant 3 semaines de vacances. Mon contrat de travail, il en est presque à se faire vomir dessus. Mais mon contrat de vie, j’espère bien le bichonner comme il faut.

Et… mais je rêve… AVANT-DERNIERE au classement de BLOFTSTORY !Bon. Faudrait ptetre vous réveiller un peu les gens là hein ? Vous voulez ma mort dans un verre de honte ou quoi ? Vous allez morfler à coups de textes alcoolisés dépressifs et/ou cartlandistes pendant au moins 3 jours si je finis pas dans le trio de tête ! Vous êtes prévenus !

Tenez, un échantillon, pour vous motiver…

« Ô ! J’aimeuh tes yeux noirs qui regardent les miens
Tes caresseuhs si douces sur ma peau et mes seins
J’aimerais que jamais ton amour n’ait de cesse
De faire s’ouvrir mon coeur et de plonger dans mes « 

Zut, j’ai mal calculé mon dernier alexandrin et je crois avoir commis une petite confusion de registre. Mais le style est là. Bon, vous voulez vraiment subir ça ?

Filigrane

Dans l’intimité sombre de cette chambre, quelques rayons curieux au travers des volets clos viennent aider la psyché à refléter les jeux d’ombres et de courbes qui me contrastent et me tracent. L’observation est agréable et les mains apprécient l’harmonie des douceurs. Les yeux se ferment. Peut-être pour fuir l’absence d’un second reflet derrière le mien.
Je souris. Qu’importe ! Je l’imagine très bien.

Je plonge un instant dans ce jour de ma seizième année où j’ai pris conscience du palimpseste à l’abri derrière mon image : J’étais capable de séduire. C’était inscrit quelque part sous ma peau à l’encre invisible et je n’y avais jamais cru. Un secret que je m’étais bien caché. Complexée par ce que je n’assumais alors pas. Alchimiste de moi-même, mes faiblesses allaient devenir mes plus précieuses alliées.
Non, je n’allais pas finir bonne soeur. Surement pas. Les éclairs divins, c’est bien. Mais les orages célestes qui se déchaînent au fond du ventre et dans la tête, c’est encore mieux.

Je rouvre les yeux … Vivement la nuit.

Allez cocotte, faut qu’on parle toutes les deux.

Comme j’étais heureuse quand j’ai décroché ce boulot !! Les six mois de chômage venaient de souffler leurs tristes bougies dans ma face. J’en prenais plein les yeux, de la crème de ce gâteau pas très bon.
Orléans. Je me rapprochais de mon chéri. On allait peut-être pouvoir s’installer ensemble ? Après un an et demi, c’était raisonnable.
Et c’est même un vrai petit nid d’amour douillet et verdoyant que nous avons déniché tous les deux, pratiquement à mi-chemin de nos lieux de travail respectifs. Tous ces grands et heureux événements ont été dignement fêtés. Ô joie Ô bonheur dans notre nouvelle demeure, à tous les deux, heureux d’être ensemble, heureux et amoureux.
Certes, je pouvais rêver mieux comme boulot, niveau salaire, niveau compétences requises… Mon DESS n’était vraiment pas d’une grande utilité. Mais c’était un détail, alors.
Pendant un an, je me suis donnée à fond. J’ai aimé ce que je faisais. Je me suis investie comme rarement.

Il ya un an, à peu près jour pour jour, mon chéri m’a dit je ne t’aime plus. Alors bon, il est parti. Faut pas trop chercher à retenir les gens dans ce cas-là.
Et puis, conséquence imprévue, de retour de mes vacances, j’ai perdu toute la motivation que j’avais auparavant pour mon travail. Je me suis désinvestie aussi farouchement que je m’étais défoncée pour ce boulot auparavant.
Plusieurs raisons à cela. J’ai ouvert un blog. Grosse erreur a priori. Comme pour toute chose que je commence, je me passionne complètement. Mais par contre, j’attends encore la suite … C’est quand que je vais m’en lasser ?
Le blog, coupable idéal de la désertification cérébrale professionnelle.
Après, ça suffisait pas les conneries, alors, j’en ai rajouté une couche avec l’IRC.
Bon soit. Il suffisait juste que je reprenne goût à mon travail, comme avant.
ça fait maintenant plusieurs mois… Et j’attends encore que la motivation revienne. J’ai peur que rien ne bouge dans ce ciel tout rouge tant qu’aucun gros changement n’aura eu lieu dans ma vie.
Trouver un nouveau taff. Pas le choix.

Je pense à des projets, à des outils… Je regarde autour de moi, le vide, l’absence d’équipe compétente, l’absence de moyens, et je m’effondre. Les tâches ingrates qui s’amoncellent sur mon bureau. Les compétences que j’avais développées en informatique et qui s’envolent avec le temps. Le goût amer du sous-emploi. Le salaire qui ne me permet même pas de vivre seule dans mon nid d’amour pour oiseau solitaire. Colocation obligatoire si je veux continuer de vivre là. Et de toute façon, les loyers en ville sont encore plus élevés… Donc, pas vraiment de choix.
C’est de la merde qui s’est entassée pendant un an dans ma vie. J’aimerais trouver une poubelle assez grande pour tout jeter, tout balayer, tout virer.
Tout recommencer.
Je relisais quelques notes sur mon ancien blog tout à l’heure. Bon sang ce que je me suis trouvée joyeuse. Y’a pas si longtemps que ça. Quand j’y croyais encore, que j’allais la retrouver cette putain de motivation. Comment j’ai pu m’investir aveuglément pendant un an et tout laisser partir en vrille si vite ?
C’est pas moi qui ne vais pas bien. C’est ma vie.
C’est pour ça que je ne suis pas déprimée. (ou pas encore). C’est pour ça que j’arrive pas à chialer. C’est parce que moi, je vais très bien !! Merci !!
La motivation, elle reviendra pas. Elle reviendra jamais si rien ne change au niveau de ce boulot-là. Et dans ce genre de structures, les changements ne sont pas monnaie courante, ni rapide, ni trébuchante.
SO.
Blandine. T’as trois semaines pour réussir l’exploit physique et intellectuel de l’auto-administration de pied au cul.
Quand tu rentres de tes vacances d’ermite pyrénéen en bob et bronzage chaussettes- débardeur, tu refais ton CV.
Hein ???
Allez bordel !!! TU M’ECOUTES QUAND JE T’ECRIS OUI ???
Tain. J’vais jamais y arriver. J’vais écrire quoi sur mon CV pour remplir un an de vide ? Et je vais chercher quoi comme boulot ? Est-ce que je fais bien toujours mon métier d’origine là ?
… T’es chiante. Ecris que t’es chiante sur ton CV et que tu blogues et que tu chantes sous la douche et que t’as laissé crever trois plantes vertes cet hiver et aussi que t’aimes ton chat. Voilà.

Amitié

Sachant qu’il y a 4 votes en tout et pour tout pour moi,
ET
Sachant que j’ai déjà voté 3 fois pour moi-même (et que non, j’ai même pas honte de l’avouer parce que Aide-toi et le Ciel t’aidera qu’y disait le monsieur),

Combien y’a t’il de gen qui m’aime autour de moi, hein ??

Et toi ?…

Le message qui s’affiche sur mon téléphone attend patiemment une réponse.
« … J’avais besoin de te retrouver… »
Les points sont bien à leur place. Comme nous avions pris l’habitude d’user de la ponctuation afin de mieux souligner les mots qui nous liaient. Mon prénom, confortablement installé dans sa fin de phrase, derrière sa virgule personnelle qui lui ouvre la route. Tu me donnes malheureusement une place que je ne suis pas en mesure d’honorer.
Les verbes en « re-« , je les fuis. Je les déteste souvent. Re-venir. Re-partir. Re-tourner. Re-passer par les mêmes chemins…
Tu pensais que je te comprenais. J’espère que tu te souviens que je t’ai dit être égoïste. Souviens-toi. C’est ce mot-là qui va te permettre de bien me comprendre, à ton tour.
Je ne t’ai jamais eu entier. Tu ne m’auras pas entière. Nous ne sommes pas d’accord sur le sens de ce mot, sans doute. « Être la première, après … »
Je la déteste cette place. Tu le sais.
Je te comprends comme je suis capable de comprendre trop de monde. C’est ma faculté, de creuser et de fouiller. De chercher et de trouver. D’éclairer et de de deviner. D’abandonner les recherches, aussi.
Je ne te reviendrai pas entière. Si je reviens à toi, ce sera en morceaux. Et pour combien de temps ?

Je n’aime pas le moment où je sais que je vais devoir oublier quelqu’un. Ce moment où je vais devoir me concentrer sur mes ressources propres afin de réduire à néant le peu, ou le beaucoup de sentiments que j’avais laissés germer.
J’ai déjà eu à t’oublier une fois. La saison des semailles est passée pour nous. Aujourd’hui, c’est l’été. Nous ne nous abandonnerons pas deux fois.

Tu m’as dit « non ». Tu as eu raison. Ce n’était que la brillance sur nos peaux qui m’attirait, les moiteurs, les sueurs, les reliefs accidentés. Et tes mains. ça doit être mon côté pie. Pie. Pilleuse. P(a)illarde éparPillée.

« … Et toi ?  »

Et moi… J’ai très envie de me retrouver.

PS. Et si ma réponse se trouve là, c’est un peu pour le plaisir de faire briller les étoiles discrètes que nous avions au coin des yeux ce soir-là. Invisibles de tous sauf de nous-mêmes. C’est beaucoup pour l’aura de nos mots et de nos envies que je n’oublie pas et que j’aime voir ainsi impudemment offerte. C’est totalement par égoïsme.

Chez elle

Elle est là sans vraiment l’être.
Il y a des barrières qui ne se franchissent pas d’un bond.
Il y a aussi des bonds qui ne franchiront jamais aucune barrière. On se prend parfois les pieds dans le barbelé de la réalité. Plus on se débat et plus on s’empêtre.

Au-delà des rêves et des mots, au-delà des douceurs que l’on prend plaisir à s’offrir, pour de vrai, pour de rire et pour de beau, les espérances prennent leur élan majestueux… Et vlan. Y’a souvent une grande baie vitrée planquée derrière le brouillard que l’on s’est collé avec tant de sourire devant les yeux.

Elle est là sans vraiment l’être. Parce qu’il n’y a pas de chaise dans laquelle elle se sente bien. Parce qu’il n’y a pas de meuble familier. Pas de photo qui pourrait l’émouvoir. Pas de regard qui puisse vraiment l’accueillir. Parce que les gens autour restent étrangers. Parce qu’il y a un vent glacé qui fait frémir la peau. Parce qu’il y a parfois des mots de trop et souvent des mots cruellement absents. Parce que chez elle, c’est certain, ce n’est pas là.

A chacun de faire son bout de chemin. Je te tends la main, tu m’ouvres les bras. Tu m’offres un mot, je te souffle les miens. On avance. En essayant de suivre le fil. C’est une question d’équilibre.

Mais il y a des barrières qui ne se franchissent pas d’un bond.
Il y a aussi des bonds qui ne franchiront jamais aucune barrière. On se prend parfois les pieds dans le barbelé de la réalité. Plus on se débat et plus on s’empêtre.

Comme elle était là sans vraiment l’être, qu’elle était un peu fatiguée et qu’elle avait les jambes un peu griffées par le barbelé, alors elle s’est relevée et doucement, elle a essayé de rentrer chez elle.

En pas direct de pas chez Flaoua

La 8ème épreuve de blofstory est l’occasion pour moi de répondre aux questions de Flaoua, dans une ambiance tout à fait agréable et dilettante qui me sied à ravir. C’est en effet en direct de mon canapé que je vous parle.

1. Bon, d’abord, bienvenue dans cette interview Plancton. Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore (honte à eux), peux tu te présenter brièvement ?

Me présenter. Bon.
Brièvement, ça donne donc « Je suis ». Je suis parce que je pense plein de trucs. Et quand j’arrête de penser, j’arrête d’être. Mais ça dure jamais longtemps.

Mais je peux faire moins synthétique aussi.

Plancton. Je suis un micro-organisme errant qu’on trouve normalement dans la mer. Mais comme j’erre vachement, j’ai fini par atterrir sur un blog et même sur IRC. Et comme « je suis », he ben je me suis permis de rajouter une majuscule et comme ça, Plancton, c’est devenu mon petit nom.

Blandine. Parce que Plancton, c’est un morceau de Blandine. Et Blandine, c’est un peu de Plancton. On finit par bien s’accorder toutes les deux.

2. Rentrons dans le vif du sujet. Peux tu nous dire quel est ton plan ultime de conquête du bloft ? (On a bien compris que tu faisais les yeux doux à Matman, mais bon, à part ça ?)

Quitte à décevoir mes fans, le bloft n’a rien d’une conquête intéressante à mes yeux. Le jeu est un amusement. Gagner est un amusement. Perdre doit toujours se faire le sourire aux lèvres ou au cœur. Et… Mince. Je m’éloigne du sujet là.

Et puis j’aurais un plan, que je le garderais pour moi tiens. D’ailleurs, il y a des chances pour que je parte en vacances en emportant avec moi ce secret. Pas de fin, pas de dévoilement de mystères.

3. Allez, poussons l’originalité à son summum. Qu’est ce que tu as le plus apprécié dans le bloft ?

Oui, poussons, poussons. Et pour pousser l’originalité avec toi, je répondrais que j’ai apprécié de découvrir des blogs sympathiques et de deviner des personnes très intéressantes derrière.

4. Tadaaam, la suite évidemment !! Qu’est ce que tu as le plus détesté ?

Devoir me plier à des règles alors que justement, ce blog n’est pas du tout conçu pour ça. Mais en poussant un peu les murs, en me faufilant un peu, ça passe quand même. En fait, ce ne sont pas les contraintes qui me dérangent. Mais plus le fait d’avoir l’impression d’être là pour répondre aux attentes d’un concepteur. « Allez-y, interagissez, mettez-vous sur la gueule, défendez-vous, plaidez votre cause… ». Tout cela ne peut marcher que si on prend plaisir à le faire. Alors parfois ça fonctionne, parfois non. Mais faut pas qu’on me demande de faire semblant de quoi que ce soit ou de donner dans l’artificiel.

5. Si tu devais créer une épreuve pour le jeu, quelle en serait la teneur ?

Mh… Elle est chiante ta question tu sais ?
Bon. Après réflexion. J’aimerais que les blofteurs essaient de décortiquer suffisamment les blogs des autres pour essayer de rédiger un post «à la façon de ». Comme les yaourts « à la façon de grand-mère » sauf que c’est pas grand-mère qui les a fabriqués. Pour certains blogs, ce serait assez simple… Et pas pour d’autres. L’épreuve risquerait d’être irrégulière. La caricature serait la bienvenue. Mais pour qu’il puisse y avoir caricature, c’est toujours le même problème, il faut repérer les traits principaux du style ou du blogueur… Dur dur.

6. Pour gagner, serais-tu prête à te commettre avec Matman dans la piscine ?

Mh ? Je croyais que c’était la récompense pour la gagnante ça !

7. A ton avis, qui se cache derrière Monsieur Bloft ? Un blogueur célèbre à forte tendance sadique ? Un auteur de skyblog ? Pire. UNE FEMME ?

A mon avis, c’est une femme. Pleine de créativité sans doute. Mais ça doit être une première, d’organiser ce jeu, pour elle.
Et sinon, elle a 25 ans. Non. 30. Elle travaille. Elle est brune. Et elle est allée faire pipi au moins une fois dans les 5 dernières heures. Et moi, je me fais embaucher comme profiler demain.

8. Avoue nous tout. Qui as-tu nominé lors des nominations par mail ? Et pourquoi ?

Ha. Faut que j’aille fouiner dans mes mails là… Alors. C’était donc après l’épreuve 4.

Et pour les nominations, puisqu’il le faut :
http://ron.infirmier.free.fr/modules/news/

http://sprykritic.canalblog.com/

http://www.luciennedupinket.net/bitegirlz/

Ils étaient tous très très loin du jeu, je crois.

9. Participeras-tu à l’émission de blogoréalité visant à réhabiliter des stars oubliées, qui verra le jour dans quelques années, à savoir « La Ferme des Blogostars » ?

Faudrait que je commence par devenir une star, non ? Ou alors que quelqu’un mette des caméras dans la piscine.

10. Franchement. Qu’est ce que tu rêves de faire subir à Toutankh pour t’avoir entraînée là dedans ?

Plein de sévices terribles. Surtout qu’il paraît que… Euh non, rien. :p